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Abdelmadjid Tebboune, président de l’Algérie. Crédit: RYAD KRAMDI / AFP
n°804.Faut-il croire à une éventuelle adhésion de l’Algérie aux Brics ?
Pour Alger, rejoindre les Brics est le prolongement naturel de sa politique internationale actuelle, qui consiste à se démarquer de ses concurrents régionaux, dont Rabat - ayant consolider son alliance tripartite avec Washington et Tel Aviv -, pour tenter de s’ériger en nouvelle puissance émergente. Une ambition qui n’est pas la bienvenue de la part du seul membre continental et pourtant allié politique du voisin de l’Est : l’Afrique du Sud
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