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L’Istiqlal reporte l’élection de son Comité exécutif

29.04.2024 à 09 H 54 • Mis à jour le 29.04.2024 à 09 H 54 • Temps de lecture : 2 minutes
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Ayant réélu, le 28 avril, leur secrétaire général Nizar Baraka pour un deuxième mandat, les Istiqlaliens ont encore la tâche de compléter les instances décisionnelles du parti de la balance. Cette étape prendrait cependant plus de temps que prévu, selon un communiqué diffusé ce lundi par la formation politique.


Baraka, qui présidait, après sa réélection, une session dédiée à l’élection des membres du comité exécutif, a annoncé que le 18ème Congrès national maintiendra ses travaux ouverts. Cette prolongation, explique-t-on dans le même communiqué, vise à accorder au secrétaire général suffisamment de temps pour mener les consultations partisanes nécessaires tout en permettant à toutes les composantes du parti concernées de contribuer à la préparation de la liste des membres du comité exécutif qui sera présenté. Dans ce sens, les statuts de l’Istiqlal, votés et approuvés le 27 avril par le Congrès national, prévoient que cette liste doit être proposée par le SG du parti pour qu’elle soit par la suite votée par le congrès.


La décision, ajoute la même source, « reflète la volonté de préserver les intérêts du parti, et tient compte des enjeux de le renforcer, de consolider sa cohésion et son unité  ». Cette session consacrée au renouvellement du comité exécutif se poursuivra donc au cours des prochains jours, conformément au règlement intérieur du Parti de la Balance. Les détails de tenue des prochaines réunions seront déterminés et annoncés par le parti ultérieurement, note le communiqué.


Pour rappel, il s’agit du deuxième parti de la majorité à tenir son Congrès national, après le parti de l’Authenticité et de la Modernité (PAM) dont les membres ont renouvelé les instances directionnelles du parti en février dernier. La tenue du 18ème Congrès national de l’Istiqlal, sous pression de l’Intérieur, a toutefois été marquée par des tensions internes, mais aussi teintée par le scandale éclaté en mars dernier et dont les protagonistes ont été Noureddine Mediane, leader et président du groupe parlementaire du parti à la première chambre et Rafia El Mansouri, vice-présidente de la région de Tanger-Tetouan-Al Hoceima. Mediane avait fini par être suspendu et remplacé à la tête du groupe parlementaire.

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