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Rail
Mohamed Rabie Khlie, DG de l’ONCF, élu à la vice-présidence de l’Union internationale des chemins de fer

08.07.2021 à 13 H 22 • Mis à jour le 08.07.2021 à 13 H 24 • Temps de lecture : 2 minutes
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Lors de la 98ème Assemblée Générale de l’Union Internationale des Chemins de Fer (UIC), tenue à distance ce jeudi 8 juillet, le Maroc a été élu, en la personne de Mohamed Rabie Khlie, directeur général de l’Office national des chemins de fer (ONCF), à la vice-présidence de cet organisme ferroviaire mondial pour un mandat allant jusqu’à fin 2023 et ce, en plus de sa présidence de l’UIC – Région Afrique, apprend-on auprès de l’Office.


Composée de plus de 200 membres regroupant l’ensemble des opérateurs et exploitants ferroviaires à travers le monde, l’UIC constitue l’unique organe de production, de standardisation, d’unification des référentiels, de définition des normes techniques et d’exploitation optimale et sécuritaire du système ferroviaire, ainsi que de recherche et développement y afférent.


« L’élection à l’unanimité de notre Royaume, lors de cette rencontre statutaire réunissant plus de 180 hauts responsables de réseaux ferrés à travers le monde, au niveau de l’instance suprême de gouvernance de cet organisme international, constitue une première au niveau arabo-africain. Elle intervient au regard du leadership du Maroc dans ce secteur, matérialisé par son engagement et sa mobilisation permanents et intenses au service de la mobilité durable (…) », se satisfait l’ONCF, qui rappelle « le tournant majeur du secteur ferroviaire national, ayant marqué un réel renouveau grâce aux projets structurants réalisés dans le cadre de la politique des grands chantiers insufflée par le Souverain ».


« Ils se sont notamment traduits par un saut qualitatif remarquable de la mobilité des voyageurs et marchandises, ainsi que par un repositionnement privilégié international et continental en termes de compétitivité et de qualité en tant que réseau viable à l’image d’un pays émergent », ajoute-t-on


« Autres facteurs ayant conduit à cette reconnaissance mondiale inédite étant les efforts consentis par notre pays, en assurant depuis 2010 la présidence de la Région Afrique de cet organisme et qui ont conduit à faire fédérer les réseaux africains autour d’un projet commun, soutenu par des actions structurantes et novatrices. Le bilan est en effet éloquent : elles ont permis de gagner en termes de notoriété, de reconnaissance, d’implication dans les grands projets régionaux et continentaux ainsi d’un positionnement privilégié auprès des institutions gouvernementales et régionales concernées (Union Africaine, NEPAD, Communautés Economiques Régionales, bailleurs de fonds…) », poursuit l’ONCF.

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