Révélations sur les caprices des princes saoudiens
« Si je ne voyage pas, sachez que j’ai été tué », aurait tweeté le prince Abdelaziz ben Fahd, fils de l’ancien roi Fahd d’Arabie saoudite. C’est Al-Manar, le site officiel du Hezbollah libanais, qui a diffusé ce tweet attribué du prince, le 6 septembre, dans lequel il annonce son intention de « faire [ses] adieux » au roi Salman et « de prendre l’avion ». Le message a été effacé depuis et son compte officiel (@afaaa73) a cessé d’être actif, le 11 septembre.
Deux mois plus tard, le 5 novembre, au lendemain de la vague d’arrestations de dignitaires lancée par le prince héritier Mohammed ben Salmane, des médias relayent la nouvelle de sa mort dans le crash d’un hélicoptère. Avant d’être démentis par le ministère de l’information. Le crash a eu lieu, mais avec un autre dignitaire à bord. Le richissime prince de 44 ans, habitué des palaces de Paris, Genève et New York, serait « vivant et en bonne santé », à Riyad. Il n’est donc pas porté disparu, mais on ne l’a pas revu depuis la purge.
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