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Grand angle

Révélations sur les caprices des princes saoudiens

18.12.2017 à 23 H 25 • Mis à jour le 18.12.2017 à 23 H 26 • Temps de lecture : 13 minutes
Par
ENQUÊTE
Le fils du roi Fahd d’Arabie saoudite, le sulfureux prince Abdelaziz ben Fahd, pouvait tout demander à Saad Hariri. Une division « VIP » créée au sein du groupe de BTP de la famille Hariri était chargée des besoins du prince, y compris d’« attirer des femmes sans méfiance » dans sa suite. Un temps donné pour mort en novembre, le prince n’est pas réapparu depuis la purge de Riyad

« Si je ne voyage pas, sachez que j’ai été tué », aurait tweeté le prince Abdelaziz ben Fahd, fils de l’ancien roi Fahd d’Arabie saoudite. C’est Al-Manar, le site officiel du Hezbollah libanais, qui a diffusé ce tweet attribué du prince, le 6 septembre, dans lequel il annonce son intention de « faire [ses] adieux » au roi Salman et « de prendre l’avion ». Le message a été effacé depuis et son compte officiel (@afaaa73) a cessé d’être actif, le 11 septembre.


Deux mois plus tard, le 5 novembre, au lendemain de la vague d’arrestations de dignitaires lancée par le prince héritier Mohammed ben Salmane, des médias relayent la nouvelle de sa mort dans le crash d’un hélicoptère. Avant d’être démentis par le ministère de l’information. Le crash a eu lieu, mais avec un autre dignitaire à bord. Le richissime prince de 44 ans, habitué des palaces de Paris, Genève et New York, serait « vivant et en bonne santé », à Riyad. Il n’est donc pas porté disparu, mais on ne l’a pas revu depuis la purge.


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