
n°1047.Sahel, terres rares : les dessous de la danse du ventre d’Alger à Washington
Après l’échec cuisant essuyé lors du premier mandat de Donald Trump, qui a cimenté la marocanité du Sahara occidental, l’Algérie qui a tenté sans succès de raviver l’option militaire contre le Royaume via son proxy du Polisario, veut sa revanche. « The sky is the limit (en français, tout est possible) », a confié l’ambassadeur algérien à Washington, Sabri Boukadoum, au média américain DefenseScoop, à propos des partenariats en matière de sécurité que son pays souhaite nouer avec les Etats-Unis.
« Nous avons un dialogue militaire qui dure depuis des années maintenant. Le Mémorandum d'accord Algérie-États-Unis a installé un cadre juridique dans notre coopération et ouvre la porte à tant d'autres choses à l’avenir », a ajouté le diplomate, prenant pour exemple « les échanges de renseignements maritimes, les acquisitions militaires à l’étranger » ou encore « les opérations de recherche et sauvetage et les efforts de lutte contre le terrorisme dans et autour du Sahel ».

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