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A Ceuta, la « frontière intelligente » avec le Maroc reportée au premier trimestre 2025

08.12.2024 à 20 H 55 • Mis à jour le 08.12.2024 à 20 H 55 • Temps de lecture : 1 minutes
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La mise en place de la « frontière intelligente » au poste douanier de Tarajal qui sépare l’enclave espagnole de Ceuta du Maroc retardera sa mise en œuvre au premier trimestre 2025, même si les travaux ont déjà été achevés, indique une dépêche de l’agence EFE.


Des sources de la délégation du gouvernement dans la ville autonome ont confirmé à la presse qu'il n'y a eu aucun retard dans les travaux, qui ont été achevés dans les délais, mais que le retard est dû à des problèmes qui dépassent Ceuta.


Ce projet, qui était prévu pour novembre 2024, a été reporté en raison de la décision de l'Union européenne (UE) d'unifier sa mise en œuvre dans tous les pays membres.


Le système d’entrée et de sortie (EES), élément fondamental de la frontière intelligente, devait devenir opérationnel dans toute l’UE le 10 novembre 2024.


Ce système vise à moderniser le contrôle des voyageurs non européens, en enregistrant des informations telles que les noms, les données biométriques et les détails d'entrée et de sortie.


Cependant, la Commission européenne a indiqué que plusieurs pays n'étaient pas prêts pour cette date, même si dans le cas de Ceuta, les travaux nécessaires à la frontière de Tarajal avaient déjà été achevés dans les délais prévus.


Les travaux d'installation des systèmes biométriques et des modules de contrôle ont été achevés dans les délais, mais le projet a été conditionné à la décision de l'UE de mettre en œuvre le système simultanément sur tout le territoire communautaire.


Les travaux à la frontière de Tarajal, qui avaient ralenti pendant les mois d'été en raison de l'Opération Strait Passage (OPE) ou Marhaba (côté marocain) se sont à nouveau intensifiés après la conclusion de cette opération.


Les travaux comprenaient l'installation de systèmes avancés de reconnaissance faciale et l'intégration de scanners biométriques, dans le but de moderniser l'un des postes frontaliers les plus fréquentés entre l'Europe et l'Afrique du Nord.

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