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DiplomatieRabat-Nouakchott: les dessous d’une timide réconciliation

01.03.2018 à 14 H 56 • Mis à jour le 01.03.2018 à 14 H 56 • Temps de lecture : 9 minutes
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Depuis quelques jours, un ambassadeur mauritanien a présenté ses lettres de créance à Rabat alors que le poste était vacant depuis six ans. Le président Ould Abdelaziz réclamait le départ du Maroc de Mohamed Ould Bouamatou, son plus irréductible opposant réfugié dans le royaume depuis 2010. Mais un autre banni, le sulfureux conseiller occulte Moustapha Chafi Ould Lmam demeure toujours sous la protection de la DGED…

La « léthargie » des relations entre le Maroc et la Mauritanie, pour reprendre la formule du président Mohamed Ould Abdel Aziz dans Jeune Afrique est-elle dépassée après six longues années de vacance du poste d’ambassadeur de la République islamique à Rabat ?


Signe de détente, Mohamed Lemine Ould Aboye a présenté le 27 février ses lettres de créances au secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Mohamed Ali Lazrak. La nomination du diplomate passé par le Sénégal et le Niger avait été enfin actée en décembre, date du départ définitif du Maroc du milliardaire et opposant mauritanien Mohamed Ould Bouamatou vers ses bases arrières de Bruxelles.


Le cas Bouamatou enfin résolu...

Depuis 2010, il est en délicatesse avec son cousin, l’homme fort de Nouakchott, le président Mohamed Ould Abdelaziz. Il coulait des jours tranquilles entre sa luxueuse résidence à Marrakech et son appartement du quartier Agdal de Rabat, depuis lesquels il était accusé d’organiser des campagnes médiatiques en Europe contre son ancien allié pour qui il a été à chéquier ouvert lors de son putsch de 2008.

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Par @MarocAmar
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