Royaume-UniBrexit: les opposants au «no deal» face au risque d’élections anticipées

Ils sont partis en vacances épuisés, le 25 juillet, au terme d’une session parlementaire très dense, rythmée par des affrontements à répétition avec le gouvernement de Theresa May concernant le Brexit. Mardi, ils reprendront leur place à la Chambre des communes dans une atmosphère qui sent à plein nez l’autoritarisme – et les élections anticipées.
L’élection de Boris Johnson à la tête du parti conservateur, le 24 juillet, laissait augurer un durcissement du bras de fer entre le gouvernement et les députés divisés sur l’issue à donner au Brexit.
Cependant, à moins de deux mois de la sortie programmée du Royaume-Uni de l’Union européenne, les manœuvres du premier ministre pour museler le pouvoir parlementaire ont de quoi laisser pantois les observateurs les plus cyniques de la vie politique britannique au cours des trois dernières années.

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