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REPORTAGEA Alger, «la rue», un enjeu de pouvoir et d’expression du Hirak

12.03.2020 à 12 H 46 • Mis à jour le 12.03.2020 à 12 H 46 • Temps de lecture : 5 minutes
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Alternant entre condamnations et remises en liberté de journalistes et d’activistes du mouvement populaire qui a entamé sa deuxième année dans la rue, le pouvoir algérien souffle le chaud et le froid, face à une mobilisation qui ne se tarit pas

En dépit de la « main tendue » du président Tebboune au Hirak, qui entre dans sa deuxième année, les arrestations et condamnations de figures du mouvement se poursuivent. Un harcèlement judiciaire qui épuise les comités de soutien aux détenus d’opinion.


Placé en isolement dans la prison d’El Koléa dans la banlieue d’Alger depuis le 12 septembre 2019, Karim Tabbou, 46 ans, député d’opposition et président de l’Union démocratique et sociale (UDS), un parti non autorisé, a été condamné par le Tribunal de Sidi M’hamed à Alger, mercredi 11 mars, à 6 mois de prison ferme pour « atteinte à l’unité nationale » et « incitation à attroupement non armé ». Une peine déjà effectuée, il est libérable à partir du 26 mars prochain.


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