Désintox
Ghita Mezzour, ministre de la réforme de l’administration et de la transition numérique. MAP
Media Fail
Non, le gouvernement n’a pas décrété « le tout arabe » au sein de l’administration publique
« Le gouvernement décrète le tout arabe au sein de l’administration publique », « l'Exécutif impose l'usage de l'arabe », « le Maroc met fin à l'utilisation du français » ... depuis la nuit de dimanche, les titres évoquant le bannissement de la langue française au Maroc ne cessent de se multiplier. Qu’en est-il vraiment ?
À l'origine
« Le gouvernement décrète le tout arabe au sein de l’administration publique », a écrit hier dimanche le site d’information, Le360. Dans son article, le média souligne que Ghita Mezzour, ministre déléguée chargée de la transition numérique et de la réforme de l’administration a enfin tranché dans cette question qui ne cesse de refaire surface.
« La ministre de la Transition numérique et de la réforme de l’administration impose la langue arabe aux administrations et établissements publics et privés comme langue officielle », lit-on dans l’article. Ainsi, poursuit la même source, ces établissements « sont tenus d’utiliser l’arabe comme langue officielle. Tous leurs contrats, correspondances, documents officiels ou les opérations menés avec leurs parties prenantes doivent se faire en arabe ».
« La ministre de la Transition numérique et de la réforme de l’administration impose la langue arabe aux administrations et établissements publics et privés comme langue officielle », lit-on dans l’article. Ainsi, poursuit la même source, ces établissements « sont tenus d’utiliser l’arabe comme langue officielle. Tous leurs contrats, correspondances, documents officiels ou les opérations menés avec leurs parties prenantes doivent se faire en arabe ».
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