S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk

Connectez-vous

ou

Abonnez-vous !
80 DH

1 mois
Découvrir les offres
Datadesk

Violences à l’encontre des enfants: fossé persistant entre signalements et actions judiciaires

13.04.2025 à 16 H 35 • Mis à jour le 13.04.2025 à 17 H 49 • Temps de lecture : 7 minutes
Par
Malgré une hausse des signalements de violences à l’encontre des enfants au Maroc, la réponse judiciaire peine à suivre. Un nouveau rapport de la Plateforme sur la Convention des droits des enfants (PCDE Maroc) révèle un écart préoccupant entre les cas recensés et les affaires effectivement jugées, pointant les limites systémiques d’un dispositif de protection de l’enfance. Les détails

En 2017, un ensemble d’associations marocaines œuvrant pour les droits des enfants ont constitué la Plateforme sur la Convention des droits des enfants (PCDE Maroc). Ce réseau rassemble aujourd’hui 29 associations engagées dans le suivi de l’application des politiques nationales de protection de l’enfance, ainsi que de la Convention internationale relative aux droits de l’enfant (CDE), ratifiée par le Maroc en 1993.


Face au manque de données fiables et actualisées, la PCDE Maroc a conduit une analyse de la situation des enfants et de leurs droits au Maroc, dont les résultats ont été présentés ce jeudi à Rabat. Cette analyse vise à évaluer les progrès réalisés au cours des cinq dernières années, à identifier les obstacles qui freinent la concrétisation de ces droits, et à fournir des recommandations stratégiques pour renforcer les actions de plaidoyer de la société civile.


Au total, 68 enfants ont été directement consultés dans six groupes de discussion, et 34 associations ont répondu à un questionnaire en ligne. Des enseignants, éducateurs et cadres pédagogiques ont également contribué à l’étude.

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par
Le Desk Datadesk