S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk

Connectez-vous

ou

Abonnez-vous !
80 DH

1 mois
Découvrir les offres
En clair

n°1055.Au Congrès américain, le lobby pro-Israël convoque les 250 ans d’histoire commune avec le Maroc

28.03.2025 à 01 H 45 • Mis à jour le 28.03.2025 à 01 H 45 • Temps de lecture : 6 minutes
Par
Le 25 mars, une résolution soumise au Congrès américain vise à faire de la commémoration du 250ème anniversaire de la reconnaissance par le Maroc de l'indépendance des États-Unis, prévu en décembre 2027, un évènement national outre-Atlantique, encouragé par les cercles d’influence acquis à Israël. Décryptage

Le temps est au beau fixe entre Rabat et Washington sous administration Trump. Le second mandat du président américain devrait être une continuité du premier (2016-2021) au bout duquel le locataire de la Maison Blanche avait, d’une manière spectaculaire, reconnu la souveraineté marocaine sur le territoire du Sahara occidental en échange de l’engagement chérifien dans les Accords d’Abraham. A l’époque, Donald Trump avait justifié son orientation stratégique dans un tweet resté célèbre dans le royaume : « Le Maroc a reconnu les États-Unis en 1777. Il convient donc de reconnaître sa souveraineté sur le Sahara occidental ». A deux ans et demi du 250ème anniversaire de cette date anniversaire, les soutiens américains du Maroc s’activent pour donner de l’ampleur à l’évènement.


Au Maroc comme en Amérique, cette assertion est communément admise mais est toutefois nuancée par les historiens, qui rappellent en premier lieu que l’indépendance des Etats-Unis est d’abord soutenue et reconnue par la France. Le Desk avait détaillé les circonstances de cette reconnaissance par l’empire chérifien, qui ne survient en réalité officiellement qu’en 1786 à l’occasion du premier traité de paix et d’amitié signé entre les deux pays…

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par
Le Desk En clair