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Exploration
« Des dommages de formation » au Maroc font chuter les actions de Predator Oil & Gas 

21.02.2024 à 06 H 51 • Mis à jour le 21.02.2024 à 08 H 29 • Temps de lecture : 1 minutes
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Les actions de Predator Oil &  Gas Holdings PLC ont chuté mardi après que la société ait déclaré que les tests effectués sur son site gazier marocain ont révélé des dommages de formation « potentiellement profonds », annonce-t-on ce mardi.


Cette baisse fait suite à l'annonce par la société que la phase 1 des essais sans appareil de forage avait confirmé l'existence d'un endommagement de la formation dans son gisement de gaz onshore au Maroc, ajoute la compagnie d'exploration.


Predator a déclaré que les tests effectués sur les puits MOU-1 et MOU-3 avaient révélé des dommages causés par des boues de forage lourdes. En conséquence, la société va maintenant poursuivre la phase 2 des essais en utilisant un outil de perforation à jet de sable, tout en ajustant les paramètres de conception pour tenir compte de l'étendue des dommages.


La société a déclaré qu'elle restait persuadée que l'outil de perforation sandjet permettrait d'établir un flux de gaz dans le gisement. Les échantillons de gaz prélevés lors du forage à MOU-3 ont indiqué une composition de 98,04 % à 99,57 % de méthane, ce qui, selon Predator, est « idéal pour un développement de gaz naturel comprimé avec un minimum de traitement ».


Paul Griffiths, directeur général, a déclaré : « La présence de dommages potentiellement profonds à la formation causés par des boues de forage lourdes a confirmé à nouveau la nécessité de tester ces zones pour lesquelles les diagraphies par câble sont susceptibles d'avoir été affectées par des boues de forage envahissantes ».


« Les estimations de ressources restent inchangées et il n'y a pas de changement au niveau du fonds de roulement discrétionnaire disponible pour mener à bien le programme d'essais au jet de sable. Nous sommes toutefois pleinement conscients que nous devons faire circuler le gaz depuis nos zones principales de la manière la plus efficace possible après avoir pris en compte les dommages causés à la formation, et nous sommes convaincus que le jet de sable permettra d'atteindre cet objectif », a ajouté Paul Griffiths.

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