
Les exactions impunies de l’opération Sangaris

Le Desk s’est associé au projet international d’enquête Zero Impunity. Cette opération transmédia documente et dénonce l’impunité qui protège les auteurs de violences sexuelles en conflit armé.
En partenariat avec un consortium de médias internationaux, Le Desk publie six grandes enquêtes exclusives qui décryptent les mécaniques de l’impunité au sein de nos institutions publiques, de nos organisations internationales et même de nos armées. Zero Impunity est aussi un travail d’investigation qui se prolonge par une véritable action citoyenne.
Le projet a été créé par Nicolas Blies, Stéphane Hueber-Blies et Marion Guth (a_BAHN) se définissant comme des « documentaristes activistes ». Un échange avec une victime est à l’origine du projet, un témoignage qui les avait alors particulièrement touchés. "Si je m'autorise aujourd'hui à vous parler et donc à me dévoiler, il faut que j'ai la certitude que ma parole sera entendue" entendent-il alors. Cette phrase résonne en eux comme un déclencheur. Les violences sexuelles en conflit armé créent les conditions de leur propre impunité. Zero Impunity met ainsi en lumière à la fois les jeux de pouvoir, les rapports de force et les défaillances judiciaires au sein des grandes institutions et des Etats. Zero Impunity a l’ambition de réimaginer la notion d’activisme en ligne en mobilisant le public grâce à des témoignages forts et des enquêtes accablantes.
En organisant aussi la première manifestation citoyenne virtuelle, ce projet met à la disposition des citoyens un outil viral qui permettra d’exercer une pression sur les Etats et institutions internationales afin d’obtenir des changements concrets et ainsi libérer la parole des victimes pour davantage de justice.

Abonnez-vous pour continuer la lecture
à partir de 40 dh par mois
(facturé annuellement)
Choisir une offreLe Desk a été le premier à révéler
©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.